30 à 90% des athlètes d’endurance souffrent de troubles intestinaux « De Oliveira et al, 2014 »
L’entraînement intestinal est un organe de la performance à part entière « Jeukendrup 2017 »
Ces perturbations sont liées :
-Haute intensité de l’effort
-Déshydratation
-Présence de fibres, glucides et lipides trop concentrés
Deux axes majeurs d’intervention:
Tolérance et vidange stomacale
Tolérance et absorption intestinale
Exemples d’entraînement stomacal : augmenter les aliments solides et liquides à l’effort ou s’entraîner aussitôt aprés les repas
Exemple d’entraînement intestinal : à l’entraînement s’entraîner avec 60 à 70gr/heure en glucides. Cela va entraîner des nausées,
de drôles de sensations: préparation.